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| Traduction / critique Hot Rod Gang | |
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Admin Lee-Loo Admin
Nombre de messages : 6997 Localisation : Pyrénées Date d'inscription : 2007-01-06 Age : 59 Emploi : Fondateur/presidente Lonely Street site/forum/fanClub
| Subject: Traduction / critique Hot Rod Gang 03.12.07 22:39 | |
| Urgent demande traduc pour page site principal Though it prominently features the immortal Gene Vincent and his rockin' Blue Caps, a slew of souped-up rods and dreamy teen fave John Ashley, Hot Rod Gang is a film which invariably disappoints upon first viewing. Nearly undone by its sodden slapstick elements and cloyingly obvious corn, it nonetheless possesses enough tattered charm to pass cult-film muster.Its plot, detailing Ashley's bid to convince his wealthy dowager aunts that he is indeed deserving of the family inheritance, is the most fragile of skeletons upon which to hang the rockabilly respites and tired banter. Ashley wears his chutzpah on his sleeve, undulating through a warmed-over Elvis emulation with Gene Vincent right there on the premises. Truth be told, he doesn't sing badly, but his preppy coif and Hollywood cheekbones come off as hollow glitz alongside Vincent's genuine article.It is, in fact, Gene's idea that Ashley don a fake beard and string tie, "like one of those Greenwich Village cats," so that John might clandestinely further his singing career, raising sorely-needed dough with which to fund his rubber-burning shenanigans.Perky rich chick Jody Fair is the gang's unlikely rockabilly connection. As an old pal of Vincent's, she sets up shop as Ashley's ostensible agent. In the end, John guiltily reveals the secret of his meteoric rise to his pixilated aunts, who girlishly endorse his bid for stardom and end up playing a major role in humiliating the bad boys from the wrong side of the tracks when they threaten to disrupt Vincent's gymnasium fundraiser.Obviously, Vincent is the film's main attraction. Hot Rod Gang is a rare opportunity to catch a genuine rock legend in his prime on celluloid. Of the thousand redneck kids frantically grabbing at Elvis' coattails, Vincent was just about the best. Hardly a slavish Presley impersonator, Gene emerged as one of a handful of contemporaries forging a style of some individuality amid a frenzied pantheon of hiccuping country boys.He and close friend Eddie Cochran scored impressively with appearances in The Girl Can't Help It, a Jayne Mansfield vehicle peppered with vital rock-and-roll cameos. It's been said that Cochran, who nailed a substantial supporting part in Untamed Youth that same year, appears unbilled in Hot Rod Gang, but my trained eyes have yet to spot him.Gussying up the Gang cast to little effect are character veterans Dub Taylor and Doodles Weaver along with AIP's house 'grown-up,' the redoubtable Russ Bender in one of his lovably craggy performances.John Ashley transitioned gracefully into American International's beach film scene a few years later, showing no signs of age and appearing in four blockbuster sand sagas. Following an embarrassing appearance in the shamelessy irredeemable, The Eye Creatures, he moved behind the camera, producing a fistful of Philippino horror films. Aimed squarely at the U.S. drive-in market, he teamed with director Eddie Romero on titles like Twilight People and Mad Doctor of Blood Island. Once back in the states, Ashley turned to television , producing several series in the mid-1980s.Ashley must recall his salad days with affection. For a time, he was among the most sought after juvenile leads in the business, dominating AIP's rapacious roster of good-lookin' kids. Highlighted below are a pair of teen-film classics that demonstrate what Ashley could do with a decent role.High School Caesar (1958) Unloved and spoiled rotten by rich elders, Ashley appears as a class-cutting Capone, manipulating a network of homeroom thugs who carry out his dirty work. 'Mob rule in a High School,' crowed the posters. The theme song rocks. merci Jimmy si tu peux me le faire en priorité, ça me bloque pour la page film sur le site c le seul truc que j'ai trouvé qui en parle, je vais en profiter ! | |
| | | jimmy Membre Fan Club
Nombre de messages : 343 Localisation : Paris Date d'inscription : 2007-09-27 Age : 53 Emploi : militaire
| Subject: hello 05.12.07 10:44 | |
| salut, je commencerai aujourd'hui vers midi je pense A bientôt | |
| | | jimmy Membre Fan Club
Nombre de messages : 343 Localisation : Paris Date d'inscription : 2007-09-27 Age : 53 Emploi : militaire
| Subject: hello 05.12.07 14:51 | |
| Bien que le film présente de manière assez remarquable l'immortel Gene Vincent et ses Blue caps, avec un tas de voitures sur-gonflées, et John Ashley en adolescant rêveur, Hot rod gang est un film qui déçoit invariablement à sa première projection. Rendu presque inconsistant avec ses gros gags, dégoulinant de bons sentiments ringards, il garde néanmoins un certain charme surfait, qui en fait effectivement un film culte. L'intrigue, qui montre comment Ashley tente de convaincre sa riche tante qu'il mérite l'héritage familial, est juste assez mince pour y mettre du Rockabilly. Ashley y est fier et sûr de lui, ondulant en essayant d'imiter Elvis, devant Gene Vincent. A dire vrai, il ne chante pas mal, mais sa coupe BCBG et son visage hollywoodien sonnent creux devant le formidable talent de Gene Vincent. C'est en fait Gene Vincent qui a eu l'idée de lui faire porter une fausse barbe et une cravatte ficelle un peu " comme ces gars de Greenwich village". Ceci lui permettra de lancer sa carrière musicale, et d'avoir cet argent dont il a tant besoin pour financer ses manigances.......... | |
| | | floke94
Nombre de messages : 726 Localisation : val de marne Date d'inscription : 2007-04-19 Age : 59 Emploi : agent de maitrise/cariste
| Subject: Re: Traduction / critique Hot Rod Gang 05.12.07 15:53 | |
| Merci Jimmy A+ Henry | |
| | | jimmy Membre Fan Club
Nombre de messages : 343 Localisation : Paris Date d'inscription : 2007-09-27 Age : 53 Emploi : militaire
| Subject: suite 07.12.07 13:18 | |
| .............ses manigances automobiles. Jody Fair, jolie jeune fille pleine d'entrain est le lien improbable de ce gang de rockers, et en tant que vieille amie de Gene, elle se présente comme l'agent d'Ashley. John se sentant coupable, finit par révéler à ses tantes à la fin du film, le secret de sa renommée météroitique. Celles-ci prennent joyeusement fait et cause pour lui et l'aident à atteindre la célébrité. C'est même elles qui réussissent à humilier les voyous qui veulent empêcher la collecte de fonds de Vincent dans le gymnase. Vincent est bien sûr l'attraction principale du film, et Hot rod gang est une occasion unique de voir une véritable légende du Rock sur pellicule dans ses jeunes années. Parmi les milliers de jeunes qui essayent de suivre Elvis, Vincent est en fait le meilleur. Alors qu'il est un imitateur béat de Presley, Vincent apparait comme l'une des rares artistes à avoir un style quelque peu individuel, parmi la multitude frénétique d'aspirants chanteurs. Lui et son ami intime Cochran font des apparitions remarquées dans "The girl can't help it" avec Jayne Mansfield, un film qui regorge de courtes apparitions de rockers. On dit que Cochran qui a porté sur ses épaules le film "untamed youth" apparait sans être nommé dans "Hot rod gang", mais malgré une bonne vue, je n'ai pas réussi à le repérer. | |
| | | Admin Lee-Loo Admin
Nombre de messages : 6997 Localisation : Pyrénées Date d'inscription : 2007-01-06 Age : 59 Emploi : Fondateur/presidente Lonely Street site/forum/fanClub
| Subject: Re: Traduction / critique Hot Rod Gang 10.12.07 18:35 | |
| merci Jimmy j'attends la suite pour voir si je peux en faire qque chose pour le site, je fais la page 'film en ce moment | |
| | | jimmy Membre Fan Club
Nombre de messages : 343 Localisation : Paris Date d'inscription : 2007-09-27 Age : 53 Emploi : militaire
| Subject: suite 10.12.07 19:18 | |
| Des personnages secondaires bien connus comme Dub Taylor et les adultes de l'AIP, ainsi que le redoutable Russ Bender dans l'un de ses rôles improbables complètent sans grand résultat le gang. Par la suite, John Ashley se mit avec plus de succès à faire des films US de plage. Quelques années plus tard, il apparut sans avoir pris une ride dans 4 films à succès. On le vit dans le nanar mémorable "The eye creatures", puis il passa derrière la caméra et produisit une poignée de films d'horreur philippins. Visant plus spécialement le marché américain du cinéma drive-in (projeté dans des parkings), il s'associa avec Eddie Romero dans des productions comme "Twilight people" et "Mad doctor of blood island". Une fois de retour aux Etats-Unis, Ashley rejoignit la télévision, produisant plusieurs séries dans les années 80. Ashley doit se rappeller ses années de jeunesse avec tendresse maintenant. Pendant un moment il fut parmi les jeunes les plus recherchés du marché, dominant même les petits gars aux dents longues de AIP. Néanmoins, quelques films d'adolescance devenus des classiques, dont "Hig school Caesar" (1958) montrèrent un peu de quoi il était capable lorsqu'il avait un rôle à sa mesure. Peu apprécié et pourri par de riches ainés, il apparait alors comme un capone intégré à sa nouvelle classe sociale, et manipulant un réseau de malfaiteurs-employés de maison, qui font le sale travail à sa place. | |
| | | Admin Lee-Loo Admin
Nombre de messages : 6997 Localisation : Pyrénées Date d'inscription : 2007-01-06 Age : 59 Emploi : Fondateur/presidente Lonely Street site/forum/fanClub
| Subject: Re: Traduction / critique Hot Rod Gang 10.12.07 19:34 | |
| humm c pas centré sur Gene Bon je ferai un truc moi meme merci Jimmy | |
| | | Admin Lee-Loo Admin
Nombre de messages : 6997 Localisation : Pyrénées Date d'inscription : 2007-01-06 Age : 59 Emploi : Fondateur/presidente Lonely Street site/forum/fanClub
| Subject: Re: Traduction / critique Hot Rod Gang 12.12.07 3:09 | |
| et la dessus Jimmy, ça raconte koi ? Lucky enough to catch and record this off of AMC a few years ago. The only thing about this movie that makes me want to view it again is to see what Gene Vincent was like at near the height of his fame. Gene, of course, does 'Be Bop A Lula' in color in 'The Girl Can't Help It' but he has some dialog in this one and does TWO songs with the Blue Caps in this one: 'Dance In The Street' and 'Baby Blue'. You get a good look at Gene's 2nd lead guitarist (after Cliff Gallup); Johnny Meeks and his greasy hair-do and dancer Tommy Facenda doing a frenzied shimmy. Also some Gene stage moves. Apparently his staring up into space and singing was something of a trademark. Anyhow, missing the 50's, this'll have to do for catching Gene. Oh yeah, the rest of the movie. Always nice to see the AIP logo and nice opening credits race scene down some street in the LA are in the 50's. A couple of fights, dances and less hot rod action that I expected. John Ashley apes Elvis the best he can and sings more songs than Gene (boo). ** out of *****. *** if you're a Gene fan. | |
| | | jimmy Membre Fan Club
Nombre de messages : 343 Localisation : Paris Date d'inscription : 2007-09-27 Age : 53 Emploi : militaire
| Subject: hello 14.12.07 11:36 | |
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| | | jimmy Membre Fan Club
Nombre de messages : 343 Localisation : Paris Date d'inscription : 2007-09-27 Age : 53 Emploi : militaire
| Subject: a 14.12.07 13:27 | |
| j'ai eu la chance de pouvoir enregistrer ça il y a quelques années sur AMC. La seule chose qui me donne envie de revoir ce film c'est de voir à quoi ressemblait Gene Vincent au sommet de sa gloire. Bien sur il a fait Be Bop A Lula, dans le film en couleur "The girl can't help it", mais dans celui là, il a quelques dialogues, et chante en plus deux chansons avec les Blue caps: "Dance in the street" et "Baby blue". On peut aussi voir son second guitariste (après Cliff Gallup) Johnny Meeks avec ses cheveux gomminés, et Tommy facenda en train de danser frénétiquement. On peut aussi voir Gene sur scène. Apparemment, le fait qu'il fixe le ciel en chantant était un peu sa marque de fabrique. De toute façon si vous n'étiez pas là dans les années 50, c'est un moyen de voir Gene. Ah oui, pour le reste du film, c'est toujours bien de voir le logo AIP, et un générique avec des courses de voitures sur-gonflées, dans les années 50 à Los Angeles. Cependant, il y a un peu moins de courses autos , de scènes de danses et de bagarres que ce à quoi je m'attendais. John Ashley singe Elvis le mieux qu'il peut, mais chante plus de chansons que Gene, pas terrible si vous êtes un fan de Gene. | |
| | | Admin Lee-Loo Admin
Nombre de messages : 6997 Localisation : Pyrénées Date d'inscription : 2007-01-06 Age : 59 Emploi : Fondateur/presidente Lonely Street site/forum/fanClub
| Subject: Re: Traduction / critique Hot Rod Gang 14.12.07 15:26 | |
| ** out of *****. *** ça c "pas terrible" ? merci Jimmy | |
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